Fan de Prosecco
Gianpaolo Giacobbo, chineur de lieu pour Passion Prosecco

Gianpaolo Giacobbo, chineur de lieu pour Passion Prosecco
Je m’appelle Gianpaolo Giacobbo, je suis né à Bassano del Grappa en Vénétie en 1967, année où naissait le Rock et où Jimi Hendrix sortait son premier album. Le Rock est l’un des fils conducteurs de ma vie.
Je suis marié et père de trois enfants. J’ai été gérant d’un centre d’élaboration de données comptables pendant 20 ans où mon métier consistait à faire des analyses de bilan et traiter la partie fiscale. Avec le temps ont muri en moi l’intérêt et l’amour du vin et du monde qui l’entoure.
A partir de 1994, ma relation au vin devient différente. Je rencontre des producteurs et je fréquente des lieux où on parle et où on déguste des vins avec une approche plus avisée. Lors d’un cours de dégustation, je fais la connaissance de Sandro Sangiorgi, sans doute l’un des journalistes oenogastronomique le plus engagé et sensible que l’Italie ait jamais connue. Sandro Sangiorgi fonde à Rome en 1999 la revue Porthos. A partir de 2001 je fréquente la rédaction de cette revue. Commence alors un rapport de collaboration tout d’abord en tant que photographe puis comme rédacteur, avec des reportages sur la zone de Vénétie. Ceci me permettra d’avoir une approche nouvelle face à la dégustation et à l’appréciation du vin, loin des dogmes, avec une indépendance intellectuelle plus large. Après cette expérience d’une dizaine d’année chez Porthos, je collabore avec diverses parutions et sites internet sur les rubriques dédiées au vin. Je suis commissaire technique associé pour le guide « Bons Vins Italiens » de l’édition du Touring Club depuis sa fondation. Actuellement, je m’occupe également de formations et de communications liées au vin. J’ai donc oublié le monde des comptes pour me consacrer totalement à celui du vin.
J’aime la photographie, je joue de la guitare électrique, je suis ceinture noire de judo et je suis supporter de Rugby.
Ma relation personnelle avec le Prosecco
J’habite à quelques kilomètres de Valdobbiadene. C’est un lieu qui me fascine depuis mon enfance. Etant encore très jeune, je venais avec mon père et ses amis chercher des bonbonnes de vin que l’on embouteillait ensuite à la maison. Ce moment était un jour de fête. Le soleil était toujours de la partie, nous venions généralement courant mars. Cela se passait dans les années 70, période où l’autoclave était un luxe, et où donc peu de cave en possédait. Souvent les producteurs avaient une étable à côté de la maison avec quelques vaches et produisaient du fromage pour leur consommation personnelle. Mon père et ses amis profitaient de cette journée pour rire autour d’un bon verre. Moi, je me nourrissais de ce sentiment de joie et d’insouciance qui ne m’a jamais quitté. A la maison, le vin était mis en bouteille. Ce vin conservait un peu de sucre résiduel et des levures en suspension autant qu’il en faut pour le faire refermenter et le rendre pétillant. Au début de l’été, mon père avec les mêmes amis, organisait la fête de l’été au moment de l’ouverture des premières bouteilles de Prosecco « col fondo ». C’est ainsi qu’on les appelait car le vin était trouble et les levures consumées se déposaient au fond.
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